La nuit dernière il a neigé, faute de température négative son apparition n’aura été que très brève car ce matin au réveil il ne reste plus rien. Tant pis c’est loupé pour faire un sauna et ensuite plonger dans la neige poudreuse pour se rafraichir... on se gardera ça pour plus tard.



A la place du sauna, nous nous habillons plus ou moins chaudement pour aller ramer sur une galère. Et oui on s’est mis dans la peau des esclaves qui ramaient sur les galères romaines. Bon sauf que nous au lieu d’avoir une galère on a une petite barque prévu pour deux rameurs. Mais parce qu’on aime les défis on ne prend qu’une paire de rames 😂. Bref ok veut se dépenser physiquement!


Maxime commence par écoper l’eau qui stagne dans le fond de la barque.


et on se lance avec Maxime aux rames et Amélie au commando (sans fouet bien sûr). Bon les débuts sont un peu hésitants, le temps de comprendre comment ça fonctionne... ça permet de faire connaissance avec la biodiversité locale 😃.


Puis a tour de rôle on rame face au vent de 45km/h ou avec le vent dans le dos. On a essayé d'avoir le vent dans le dos tout le temps mais ce n’était pas pratique pour revenir à la case départ. Nous avons donc fait le tour de l’île où nous habitons. Après quelques fous rires, des pluies venant d’en haut et d’en bas (et oui ramer peut mouiller au grand regret de Maxime), du vent parfois en rafale et un gros bol d’air frais nous arrivons à bon port après 2 heures de galère (romaine).






L’après-midi sera plus tranquille avec une sortie course à pieds pour Maxime et balade pédestre pour Amélie, juste avant le coucher du soleil... à 15:30.


Malgré la vingtaine d’habitation sur l’île, Amélie n’aura croisé aucune âme qui vive, à part deux bonhommes assez bizarres vêtus d’orange et très peu bavards... la frontière de la langue n’a pas aidé Amélie à discuter avec eux ou peut être simplement parce qu’ils n’étaient pas humains...